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Happy Halloween les sorcièr(e)s, échappez au froid avec vos sous vêtements chauds !

En cette veille de Toussaint, c’est le moment d’arpenter les chemins nocturnes et d’aller quêter les candys, haribo ou carambars muni de son déguisement de sorcier ou autre personnage qui fait peur.

Cela étant, attention à bien choisir son habit pour que le mal ne se retourne pas contre soi ! De là à choisir un costume de Yéti il n’y a qu’un pas mais évidemment une fois parvenu à la soirée dansante ou avoir rejoint les amis au pub du coin, la protection ultime risque de s’avérer chaude à porter.

Mais les futés magiciens l’auront compris, la solution consiste à revêtir un sous vêtement bien chaud (du type Zargun par exemple 😉 pour rester à la fois sexy et pourfendre le froid automnal tout en arborant une gorge et des bras nus vaillamment exposés sous un gilet de voile fin. Ainsi la soirée pourra alterner entre chaud et froid jusqu’au petit matin !

Happy Haloween à toutes et à tous !

Voyage en Mongolie avec les vêtements chauds Zargun

Annie et Pierre Régior arpentent le globe depuis plus de 30 ans avec pour soucis constant d’être au plus près de la nature et des autochtones. Lors d’une rencontre, Maurice Paquet leur propose de tester les vêtements Zargun lors de leur prochain voyage. Ils nous font part aujourd’hui de leur expérience après leur voyage en Mongolie.

Pierre et Annie Regior en Mongolie / Vetements Chauds Zargun

Prise de vue à la tombée de la nuit par -41°C

Fin février 2011. Nous sommes de retour d’un voyage de trois semaines en Mongolie, l’occasion pour nous de partager, avec une famille de pasteurs nomades, la fête de Tsagaan Sar, le Nouvel An Lunaire. Cette fête est l’équivalent de notre Noël et de notre Nouvel An réunis : on présente ses vœux de bonheur et de santé aux membres de sa famille, à ses amis, on offre des cadeaux, on partage nourriture et boisson, on chante, on joue aux cartes ou aux osselets,… C’est un moment unique de convivialité pour des gens que leur mode de vie contraint souvent à l’isolement.

L’hiver en Mongolie est une saison très rude pour les hommes et les animaux. Les températures descendent quelquefois à – 60° pendant la nuit pour « remonter » à – 30° pendant la journée. Le climat est aride et les chutes de neige sont faibles mais la neige en mince couche est presque partout présente pendant l’hiver (qui s’étend d’octobre à mi-avril !).

Le mois de février est habituellement le plus froid de ce long hiver mais nous n’avons pas connu les extrêmes cités plus haut. Nous n’avons subi qu’un – 48° la nuit et la température de jour oscillait entre – 40° et – 20° ! La sensation de grand froid était souvent accentuée par le vent.

Les pasteurs nomades vivent sous une yourte de feutre. Ils transhument en général 4 fois au cours de l’année (plus souvent dans la région du Gobi aride et donc plus pauvre en pâturage).
La famille chez qui nous avons séjourné occupait donc le camp d’hiver dont l’implantation est choisie en fonction de l’ensoleillement et de l’absence de vents forts. Le risque de neige est aussi pris en compte car les animaux (montons, chèvres, yacks, chevaux et chameaux) subvenant seuls à leur nourriture, une couche de neige gelée trop épaisse, peut rendre cette recherche vaine et les mettre en péril (ce phénomène porte le nom de zud blanc).

Vêtu de sa panoplie Zargun, Pierre garde le sourire 🙂

Nous avons vécu sous la yourte de nos hôtes. La température y était très variable. Très élevée au cours de la journée car, à l’époque de Tsagaan Sar, on cuisine beaucoup et le petit poêle occupant le centre de l’espace est bourré du peu de bois récolté à la fin de l’été (le combustible est, le reste de l’année, la bouse séchée de yack). Le soir, on laisse d’éteindre le foyer et la température peut descendre à – 20°. La première tâche au réveil est donc d’allumer le poêle.

Nous avions préparé ce voyage en choisissant des vêtements adaptés à cet environnement extrême. Être mal équipé peut transformer un voyage en épreuve et quelquefois tourner au désastre.
Le jour : nous portions sur nous quelques pièces maîtresses de la gamme ZARGUN : sous-vêtements haut et bas (que nous gardions nuit et jour !), une micro polaire, une veste polaire. Nous complétions cet équipement « de base » d’un anorak à base de plume acheté au VIEUX CAMPEUR. Aux pieds, des chaussettes fines ZARGUN, des chaussettes de laine, des bottes canadiennes SOREL équipées de chaussons de feutre. Aux mains, des sous-gants de soie, des gants de laine et des moufles ZARGUN (Nouveauté 2011). Sur la tête, un bonnet ZARGUN et quelquefois la capuche de notre anorak. Nous n’avons jamais souffert du froid malgré les températures mentionnées plus haut. Une exception cependant : les mains. Pour prendre des images (nous photographions et filmons beaucoup), nous devions souvent quitter les moufles ZARGUN qui représentaient la « 3ème couche » de notre équipement. Nos mains n’étaient alors plus protégées que par des gants en soie et des gants en laine et, au bout de quelques minutes, leur extrémités étaient si douloureuses que nous devions interrompre les prises de vue pour retrouver un peu de confort dans nos moufles et/ou dans les poches de nos anoraks !

Séance photo dans la steppe Mongole

La nuit : nous conservions les sous-vêtements ZARGUN ainsi que des chaussettes de laine et nous nous glissions dans un premier duvet en laine polaire puis dans un duvet « sarcophage » devant nous protéger jusqu’à – 15° (ce duvet seul aurait été insuffisant pour nous faire passer des nuits confortables, le complément « sac à viande » en laine polaire apporte un confort instantané et durable et permet de « gagner » près de 10° supplémentaires). Nous n’avons jamais eu froid la nuit bien que la température soit descendue jusqu’à – 20° sous la yourte.
Le bilan : nous avions l’équipement adapté aux circonstances rencontrées. Les vêtements et sous-vêtements ZARGUN nous ont apporté toute la protection et le confort dont nous avions besoin. Lorsque nous serons appelés à connaître des situations comparables, nous utiliserons sans la moindre hésitation, le même équipement.

Annie et Pierre Régior

Note sur les auteurs : Annie et Pierre Régior arpentent le globe depuis plus de 30 ans avec pour soucis constant d’être au plus près de la nature et des autochtones. ils ont ramenés de nombreux reportages de leurs escapades au tour du monde qu’on peut apprécier notamment dans le cadre des festivals dédiés au voyage (exp: Festival Planète Couleurs à Saint Etienne http://www.planete-couleurs.com/page156-dimanche-ap-.html )