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Voyage en Mongolie avec les vêtements chauds Zargun

Annie et Pierre Régior arpentent le globe depuis plus de 30 ans avec pour soucis constant d’être au plus près de la nature et des autochtones. Lors d’une rencontre, Maurice Paquet leur propose de tester les vêtements Zargun lors de leur prochain voyage. Ils nous font part aujourd’hui de leur expérience après leur voyage en Mongolie.

Pierre et Annie Regior en Mongolie / Vetements Chauds Zargun

Prise de vue à la tombée de la nuit par -41°C

Fin février 2011. Nous sommes de retour d’un voyage de trois semaines en Mongolie, l’occasion pour nous de partager, avec une famille de pasteurs nomades, la fête de Tsagaan Sar, le Nouvel An Lunaire. Cette fête est l’équivalent de notre Noël et de notre Nouvel An réunis : on présente ses vœux de bonheur et de santé aux membres de sa famille, à ses amis, on offre des cadeaux, on partage nourriture et boisson, on chante, on joue aux cartes ou aux osselets,… C’est un moment unique de convivialité pour des gens que leur mode de vie contraint souvent à l’isolement.

L’hiver en Mongolie est une saison très rude pour les hommes et les animaux. Les températures descendent quelquefois à – 60° pendant la nuit pour « remonter » à – 30° pendant la journée. Le climat est aride et les chutes de neige sont faibles mais la neige en mince couche est presque partout présente pendant l’hiver (qui s’étend d’octobre à mi-avril !).

Le mois de février est habituellement le plus froid de ce long hiver mais nous n’avons pas connu les extrêmes cités plus haut. Nous n’avons subi qu’un – 48° la nuit et la température de jour oscillait entre – 40° et – 20° ! La sensation de grand froid était souvent accentuée par le vent.

Les pasteurs nomades vivent sous une yourte de feutre. Ils transhument en général 4 fois au cours de l’année (plus souvent dans la région du Gobi aride et donc plus pauvre en pâturage).
La famille chez qui nous avons séjourné occupait donc le camp d’hiver dont l’implantation est choisie en fonction de l’ensoleillement et de l’absence de vents forts. Le risque de neige est aussi pris en compte car les animaux (montons, chèvres, yacks, chevaux et chameaux) subvenant seuls à leur nourriture, une couche de neige gelée trop épaisse, peut rendre cette recherche vaine et les mettre en péril (ce phénomène porte le nom de zud blanc).

Vêtu de sa panoplie Zargun, Pierre garde le sourire 🙂

Nous avons vécu sous la yourte de nos hôtes. La température y était très variable. Très élevée au cours de la journée car, à l’époque de Tsagaan Sar, on cuisine beaucoup et le petit poêle occupant le centre de l’espace est bourré du peu de bois récolté à la fin de l’été (le combustible est, le reste de l’année, la bouse séchée de yack). Le soir, on laisse d’éteindre le foyer et la température peut descendre à – 20°. La première tâche au réveil est donc d’allumer le poêle.

Nous avions préparé ce voyage en choisissant des vêtements adaptés à cet environnement extrême. Être mal équipé peut transformer un voyage en épreuve et quelquefois tourner au désastre.
Le jour : nous portions sur nous quelques pièces maîtresses de la gamme ZARGUN : sous-vêtements haut et bas (que nous gardions nuit et jour !), une micro polaire, une veste polaire. Nous complétions cet équipement « de base » d’un anorak à base de plume acheté au VIEUX CAMPEUR. Aux pieds, des chaussettes fines ZARGUN, des chaussettes de laine, des bottes canadiennes SOREL équipées de chaussons de feutre. Aux mains, des sous-gants de soie, des gants de laine et des moufles ZARGUN (Nouveauté 2011). Sur la tête, un bonnet ZARGUN et quelquefois la capuche de notre anorak. Nous n’avons jamais souffert du froid malgré les températures mentionnées plus haut. Une exception cependant : les mains. Pour prendre des images (nous photographions et filmons beaucoup), nous devions souvent quitter les moufles ZARGUN qui représentaient la « 3ème couche » de notre équipement. Nos mains n’étaient alors plus protégées que par des gants en soie et des gants en laine et, au bout de quelques minutes, leur extrémités étaient si douloureuses que nous devions interrompre les prises de vue pour retrouver un peu de confort dans nos moufles et/ou dans les poches de nos anoraks !

Séance photo dans la steppe Mongole

La nuit : nous conservions les sous-vêtements ZARGUN ainsi que des chaussettes de laine et nous nous glissions dans un premier duvet en laine polaire puis dans un duvet « sarcophage » devant nous protéger jusqu’à – 15° (ce duvet seul aurait été insuffisant pour nous faire passer des nuits confortables, le complément « sac à viande » en laine polaire apporte un confort instantané et durable et permet de « gagner » près de 10° supplémentaires). Nous n’avons jamais eu froid la nuit bien que la température soit descendue jusqu’à – 20° sous la yourte.
Le bilan : nous avions l’équipement adapté aux circonstances rencontrées. Les vêtements et sous-vêtements ZARGUN nous ont apporté toute la protection et le confort dont nous avions besoin. Lorsque nous serons appelés à connaître des situations comparables, nous utiliserons sans la moindre hésitation, le même équipement.

Annie et Pierre Régior

Note sur les auteurs : Annie et Pierre Régior arpentent le globe depuis plus de 30 ans avec pour soucis constant d’être au plus près de la nature et des autochtones. ils ont ramenés de nombreux reportages de leurs escapades au tour du monde qu’on peut apprécier notamment dans le cadre des festivals dédiés au voyage (exp: Festival Planète Couleurs à Saint Etienne http://www.planete-couleurs.com/page156-dimanche-ap-.html )

La Revue Nationale de la Chasse teste les vêtements Zargun

Revue Nationale de la Chasse de Septembre 2008 – Julien D.
Article : c’est en fluo qu’il faut chasser
Concerne la veste Pamochasse fluo / marron, tissu Polaire HD
«  et si nous ne devons vous en conseiller qu’une, c’est celle de la marque Zargun …, c’est assurément l’un des meilleurs vêtements en polaire qui nous ait été donné de tester […] Elle est vraiment chaude, très visible, agréable à porter et dans une certaine mesure coupe-vent.»
Voir l’article partie 1 / partie 2

Revue Nationale de la Chasse de Septembre 2008 - C'est en fluo qu'il faut chasser Revue Nationale de la Chasse de Septembre 2008 - C'est en fluo qu'il faut chasser (suite)

Revue Nationale de la Chasse de Novembre 2008 – Julien D.
Article : les sous-vêtements techniques
Concerne les t-shirt et micropolaires
«  qui propose de bons sous-vêtements techniques ? Commençons par la marque française Zargun …, la résistance à l’accrochage et à l’abrasion est étonnante de la part d’un T-shirt aussi léger …, d’après nos tests ce sont les produits Zargun qui offrent la meilleure protection contre le vent à poids égal. »

Revue Nationale de la Chasse de Janvier 2009 – Julien D.
Article : plus jamais froid aux pieds
Concerne les chaussettes et chaussons
«  nous avons adoré la chaussette Zargun … , en clair, cette chaussette fonctionne comme un écran qui retourne la chaleur émise par le corps vers le corps . Diablement efficace ! »
Voir l’article :

Revue Nationale de la Chasse de Janvier 2009 – Plus jamais froid aux pieds (suite)

L’équipe Alpinisme Isère teste les vêtements Zargun sur les arêtes de l’Oisans

L'equipe Alpinisme Isere équipée des vêtements Zargun sur une crête de L'Oisan

C’est du 27 Juin au 1er Juillet 2010 qu’a eu lieu le stage « courses d’arêtes » de l’équipe jeunes alpinisme Isère. Le groupe, composé de Violaine, Kim et Antoine, encadré par Fabien Passaro et Julian Breuil était soutenu par la marque de vêtements Zargun et l’association Mountain Wilderness dans le cadre de l’action « changez d’approche ».

Voir la suite sur le site de la Fédération Française de Montagne et d’Escalade

Les vêtements Zargun aident à garder le sourire même dans les passages périlleux :)

Les vêtements Zargun aident à garder le sourire même dans les passages périlleux 😀

Test des vêtements Zargun à 5898m d’altitude sur les pentes du Kilimandjaro

Voici le compte rendu de David PIERRE (69003 Lyon) après son ascension du Kilimandjaro en février 2009.  Ses conclusions sur le test des vêtements Zargun sont éloquentes :  « léger », « agréable », « pas d’odeur », « pas de sensation de froid », le tout dans des conditions extrêmes. Je vous laisse voir par vous-même, notamment son ascension de nuit:

Période : Du 21/02 au 01/03/2009
Conditions :
– Trek pour l’ascension du Kilimandjaro sur 6 jours consécutifs par la voie
– Machamé – Logement sous tente. Conditions idéales en Janvier-Février.

Sous vêtements testés : Panoplie P
T-shirt manches longues (réf. TSML)
Cagoule hublot (réf. CAGH)
Chaussettes (réf. CHAU)
Gants (réf. GANT)
Caleçon Homme (ref.CALH)
Micro Polaire 160 g/m2 (réf. MIPOL)

Objectif / Cadre d’utilisation des sous-vêtements :
Tester les performances des sous-vêtements pendant l’ascension progressive entre 1800 et 5900m d’altitude, de jour comme de nuit.

1. Utilisation de nuit (Entre 3000 et 4600 m)
. T-shirt manches longues
. Caleçon
. Chaussettes

En sac de couchage normal (10-15°C) + sur sac en polaire.

Avantages : Léger, agréable à porter et bonne régulation de la chaleur. (Ni trop chaud, ni trop froid.). Jamais froid aux pieds.
Inconvénients : En cas d’humidité et hors activité, accentuation de la sensation de froid en milieu de nuit. (Au niveau des genoux)

Mais globalement, bon confort de température.

Le Mont Kilimandjaro (Kenya)

Cette appréciation reste somme toute relative car elle dépend du matériel de couchage. (Performance du sac, épaisseur du tapis de sol, sur sac polaire ou sac en soie….).

Le caleçon présente un inconvénient au niveau de l’entrejambe. La coupe n’épouse pas complètement la silhouette. Ceci a pour effet que lorsque l’on se met accroupi, le caleçon  descend presque à mi-fesses.

2. Utilisation de jour du T-Shirt manches longues pendant la randonnée (entre 3000 et 4600m)

Avantages :
– Effet toujours agréable à porter qui maintient une sensation de chaleur régulée.
Sèche très rapidement s’il est porté seul. Pratiquement pas d’odeur.
– Porté au-delà de 4000m avec vent, pas de sensation de froid même si le temps est couvert. On sent toujours cette régulation de température constante et agréable.

Inconvénients :
– En dessous d’une polaire, la transpiration s’évacue plus difficilement et le bas du dos reste mouillé.

3. Utilisation de la panoplie P complète à l’exception de la cagoule. (Entre 4600 et 5900 m)

Ascension de nuit pendant 7 heures.
Températures comprises entre + 5 et – 20°C, vent fort.

L’ascension s’est effectuée avec la Panoplie P complète à l’exception de la cagoule.

Au total 5 épaisseurs « en haut » comprenant le T-shirt manches longues, la micro-polaire, une polaire personnelle, une veste de survêtement et un blouson chaud. Et 3 épaisseurs « en bas » comprenant le caleçon homme, les chaussettes + 1paire de chaussettes polaire, un pantalon de survêtement et un sur pantalon.

Pendant les 7 heures de montée, à aucun moment je n’ai eu froid. Pendant les 2 premières heures, je n’avais que les gants de la panoplie sans avoir froid aux doigts. (Températures comprises entre +5 et – 10°C).

Ensuite du fait du vent fort et glacial, j’ai du rajouter 1 grosse paire de gants par-dessus car j’ai utilisé des bâtons de marche et que les mains étaient directement exposées au vent.

Un peu plus tard, j’ai retiré cette grosse paire de gants et rangé mes bâtons. Mes mains étaient jointes devant moi pendant l’ascension et j’ai bien supporté le froid (entre – 10 et – 20° C)

Je n’ai pas pu revêtir la cagoule car l’ouverture en est trop étroite. Je me suis senti oppressé. A cette altitude, l’oxygène se fait plus rare et la respiration s’accélère. Chaque respiration est complète et on sur ventile. Il ne me fallait rien au-dessus de la bouche.

4. Conclusion :

Vêtements confortables
Poids léger qui en fait un bon atout pour le transport.
Bonne régulation de la chaleur
séchage rapide des effets portés seuls
– Sensation d’une température constante et régulière sans avoir froid.
– Vêtements qui semblent plus efficaces pendant une activité. (cf. : 1. Utilisation de nuit)
Pas de problèmes d’odeurs après une semaine d’utilisation jour et nuit.
Performance des gants à des températures particulièrement basses.
– Problème de « coupe » sur le caleçon qui n’est pas très confortable à cause de l’entrejambe.
– Revoir la cagoule qui « oppresse » du fait de sa petite ouverture.

Il convient de noter que malgré la haute altitude et les températures constatées (jusqu’à -20°C au sommet) nous sommes en Afrique et sous l’équateur.
Les conditions climatiques sont différentes de nos montagnes françaises.
– Sur les pentes du Kilimandjaro et jusqu’à 3500-4000m, le temps est chaud et humide puis humide et plus frais. (Bandes de brouillard régulières.)
Au-delà de 4000m, nous sommes au-dessus de la couche nuageuse avec parfois quelques bandes de brouillard qui montent et qui descendent.
– Le soleil et le vent sont présents et les températures relativement clémentes. (Environ 20°C pour la période concernée.)
– Même au sommet à 5895 m d’altitude, une fois le soleil levé on gagne rapidement +10 à +15°C.